Un #MeToo pour la musique

Trois ans après le début de l’affaire Weinstein, le monde de la musique semble prêt à s’attaquer à ses propres dérives. Jusqu’ici sporadiques, les accusations de viol et d’agression sexuelle se sont multipliées. Et ce dans tous les milieux: classique (le site Paye ta note, les déclarations des soeurs Berthollet), rock (la dissolution du label Burger Records), rap (Roméo Elvis, le cas Moha La Squale), électronique (Derrick May), chanson (Patrick Bruel), etc. Face à cela, et plus généralement en réaction à une industrie au machisme quasi constitutif, des réponses se sont structurées. Comme la plateforme Scivias en Belgique, regroupant une série d’institutions publiques, ou D.i.v.a. et Change de disque en France.

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