Pour des campagnes d’analyse ADN à grande échelle

Le Vif

Dans le cadre de la procédure de reconnaissance de paternité à l’initiative de Delphine Boël, Albert II a été contraint, par la justice, de laisser prélever son ADN.

Mais aucun cadre légal n’oblige une ou plusieurs personne(s), dans un dossier de moeurs ou de meurtre, à se soumettre à un test ADN si elle n’est/ne sont suspectée(s) d’un délit.Les personnes qui se soumettent à un test à grande échelle, comme ce fut le cas en 2010 dans la région de Mol, doivent être volontaires. Le test de parenté ne s’applique qu’à l’égard de disparus.

L’Institut national de criminalistique et de criminologie estime ainsi que des campagnes d’analyses ADN pourraient s’avérer  » particulièrement efficaces « , eu égard au  » grand nombre de meurtres non élucidés « . Le ministre sortant de la Justice, Koen Geens (CD&V), estime, lui aussi, que cette technique pourrait  » constituer une plus-value  » pour la résolution de cold cases et d’affaires très graves.

M. La.

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