© Belga

CGSLB : la réforme de l’Etat ne peut pas réduire la solidarité interpersonnelle

La CGSLB a réaffirmé jeudi que pour elle « il serait inadmissible qu’une réforme de l’Etat en vienne directement ou indirectement à réduire la solidarité interpersonnelle ou le niveau de protection sociale ».

La CGSLB dit comprendre la discrétion qui entoure les discussions en raison de l’importance des enjeux.

« A ce stade », le syndicat libéral tient à rappeler que « des changements institutionnels ne peuvent pas constituer une fin en soi mais devront être de nature à améliorer le fonctionnement des pouvoirs publics au profit de la population dans l’ensemble du pays ».

« Par rapport à certaines des options qui semblent être abordées par les négociateurs, la CGSLB considère qu’il serait inadmissible qu’une réforme de l’Etat en vienne directement ou indirectement à réduire la solidarité interpersonnelle ou le niveau de protection sociale », dit encore le syndicat dans un communiqué. Il met notamment en garde contre des atteintes éventuelles au droit du travail.

« Certaines des pistes qui semblent être évoquées pourraient non seulement entraîner une régression sociale mais aussi rendre particulièrement complexe la situation en matière de gestion dans beaucoup de domaines (justice, allocations de chômage, allocations familiales, soins de santé, gestion des ressources humaines dans les entreprises, négociations collectives …) », conclut la CGSLB.

Le Vif.be, avec Belga

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Contenu partenaire