Nous avons assisté au retour en plateau, et pour une nouvelle saison, de Georges Grün. Manifestement ravi, Giorgio accueille Geert De Vlieger et Logan Bailly au maquillage et les trois hommes discutent à bâtons rompus. Cette étape passée, le trio fait un bref passage au salon pour emporter une dernière boisson et passe en studio. Après l’installation des micros et le placement des invités, un ange passe… René Vandereycken a accordé une interview aux journalistes envoyés sur place et commente sa sélection. Et tout le monde écoute.
Diego, le régisseur remet tout le monde en place et la répétition commence. Laurent Haulotte fait un passage en plateau pour saluer tout le monde et effectue une dernière modification. Le déplacement des câbles de la caméra mobile pose problème. Un rouleau de scotch sera la solution. Un dernier écran publicitaire pendant lequel Grün souhaite une bonne émission à l’équipe et les cameramen lancent les dernières vannes et le direct peut commencer.
C’est le reportage sur Kevin Mirallas, de Martin Soyer, qu’on avait suivi la semaine dernière, qui ouvre le bal. Et Kevin semble faire l’unanimité parmi les invités. Le programme de la soirée et la situation au classement sont ensuite passés en revue. L’occasion d’évoquer les regrets à avoir quant à la campagne des Diables. Bailly explique qu’il aurait voulu en être mais qu’il respecte les choix de l’entraîneur. De Vlieger, quant à lui, comprend la non-sélection de Daniel Van Buyten puisqu’on ne change pas une équipe qui gagne. Le temps d’offrir des places pour Belgique-Finlande et la dernière page de pub est envoyée. Retour en plateau pour les pronostics. Logan mise sur un 0-2. Geert, un peu plus frileux, craint l’état du terrain et la capacité de repli des Kazakhs et avance un 0-1 prudent.
La parole est alors donnée aux commentateurs sur place et les trois hommes passent en régie pour voir et analyser le match, tous empreints d’un certain optimisme… qui ne durera que le temps d’une mi-temps ! A la fin de la rencontre, les invités avaient du mal à masquer leur désillusion. Seul rayon de soleil, Logan Bailly rappelait que la jeune génération n’était pas encore à maturation et qu’elle était prometteuse. Sans ce maudit penalty…
ERIK LENOIR