« Nous devons veiller à ce qu’aucun produit issu du travail forcé, ou de celui des enfants, ne soit placé sur le marché européen. »
Selon l’eurodéputée Saskia Bricmont (Ecolo), le devoir de vigilance sur base volontaire n’a pas permis de mettre fin aux abus perpétrés par les entreprises opérant au niveau mondial.