Aucun doute, Poutine est un dictateur criminel qu’il faut stopper le plus vite possible. Mais la crise de l’énergie? Depuis cinquante ans, des études indiquent qu’il faudrait d’urgence diminuer notre dépendance aux énergies fossiles et les diversifier. Depuis, toutes les études vont dans le même sens, nous sommes boulimiques. Pendant toutes ces années, des chercheurs et ingénieurs ont proposé mille solutions. Les rapports et preuves scientifiques du dérèglement climatique, de l’effondrement de la biodiversité, des catastrophes, des pénuries à venir et de l’empoisonnement de la Terre s’accumulent sur les bureaux des responsables politiques et industriels. Résultat, rien, le déni! Et le délit. Car enfin, il y a bien là défaut de prévoyance et de précaution et mise en danger de la vie d’autrui. A quand le «Nuremberg» climatique où nous les entendrons tous dire qu’ils ne savaient pas, qu’ils ont simplement obéi aux ordres du marché. Par opportunisme, lâcheté ou cupidité, ils nous ont trompés, menti pendant un demi-siècle. Maintenant, au bord du gouffre, la bouche en cœur, ils nous annoncent que nous allons souffrir. Mais, c’est la faute à Poutine…