Ancien correspondant à Bruxelles du Daily Telegraph et de The Spectator, dont il avait été viré car il bidonnait ses articles aux forts accents – déjà – europhobes, Boris Johnson quittera Downing Street, qu’il occupait depuis 2019, le 5 septembre. Intellectuellement brillant, brouillon, fantasque, opportuniste, constamment débraillé et décoiffé, extrêmement cultivé et surnommé «The gambler» (le joueur), le Premier ministre britannique restera dans l’histoire comme le père du Brexit. Mais ce sont les fêtes organisées pendant le confinement qui l’auront fait tomber. Retour sur les années BoJo en sept dessins.