Le double attentat meurtrier qui a fait près de 40 morts samedi à proximité du stade de Besiktas, dans le coeur d’Istanbul, a également ensanglanté un club de football et un quartier qui incarnent en Turquie la joie de vivre et l’esprit rebelle.
Le double attentat meurtrier qui a fait près de 40 morts samedi à proximité du stade de Besiktas, dans le coeur d’Istanbul, a également ensanglanté un club de football et un quartier qui incarnent en Turquie la joie de vivre et l’esprit rebelle.