« J’ai pensé parler à mes parents, mais chaque fois au moment de me décider, j’étais bloquée, l’impression d’être contrainte à un silence. »
Amia, victime d’abus sexuels par un ami de ses parents, au cours du dialogue avec sa thérapeute Mari Carmen Rejas publié dans le livre J’aurais préféré l’oubli (éd. Spinelle).