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Le conseiller de Johnson estime avoir agi de manière « légale et raisonnable »

Le conseiller du Premier ministre britannique Boris Johnson, Dominic Cummings, accusé d’avoir enfreint le confinement contre le coronavirus, a estimé lundi avoir agi de manière « légale et raisonnable ».

Au lendemain d’une intervention du chef du gouvernement qui n’a pas réussi à éteindre la polémique, le puissant et controversé conseiller s’est longuement expliqué devant la presse, sans

exprimer de regrets.

Face à des journalistes réunis dans les jardins de Downing street, le cerveau de la campagne du référendum de 2016 qui a abouti au Brexit a expliqué qu’il n’avait ni « proposé » si

« envisagé » de démissionner, en dépit de la foule d’appels en ce sens, y compris au sein de la majorité conservatrice.

Chronologie précise du déroulé des faits à l’appui, il a expliqué avoir choisi de se rendre avec sa femme et leur fils de quatre ans chez ses parents à Durham, à 400 km au nord-est de

Londres, alors qu’il craignait avoir contracté le Covid-19, pour des raisons de garde d’enfant. La famille a séjourné dans un bâtiment de la propriété familiale.

Il a cependant reconnu qu’il n’avait pas discuté de ce déplacement avec le Premier ministre, qui venait d’être testé positif au Covid-19, une « erreur », a-t-il dit, la seule qu’il ait concédée. « Je ne pense pas qu’il y ait une règle pour moi et une règle pour la population », a-t-il affirmé.

Boris Johnson avait volé à son secours la veille, affirmant que Dominic Cummings avait agi de « façon responsable, légale et avec honnêteté ». Mais malgré son intervention, nombre de députés

conservateurs ont continué à demander le départ du conseiller.

Au lendemain d’une intervention du chef du gouvernement qui n’a pas réussi à éteindre la polémique, le puissant et controversé conseiller s’est longuement expliqué devant la presse, sans

exprimer de regrets.

Face à des journalistes réunis dans les jardins de Downing street, le cerveau de la campagne du référendum de 2016 qui a abouti au Brexit a expliqué qu’il n’avait ni « proposé » si

« envisagé » de démissionner, en dépit de la foule d’appels en ce sens, y compris au sein de la majorité conservatrice.

Chronologie précise du déroulé des faits à l’appui, il a expliqué avoir choisi de se rendre avec sa femme et leur fils de quatre ans chez ses parents à Durham, à 400 km au nord-est de

Londres, alors qu’il craignait avoir contracté le Covid-19, pour des raisons de garde d’enfant. La famille a séjourné dans un bâtiment de la propriété familiale.

Il a cependant reconnu qu’il n’avait pas discuté de ce déplacement avec le Premier ministre, qui venait d’être testé positif au Covid-19, une « erreur », a-t-il dit, la seule qu’il ait concédée. « Je ne pense pas qu’il y ait une règle pour moi et une règle pour la population », a-t-il affirmé.

Boris Johnson avait volé à son secours la veille, affirmant que Dominic Cummings avait agi de « façon responsable, légale et avec honnêteté ». Mais malgré son intervention, nombre de députés conservateurs ont continué à demander le départ du conseiller.

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