L’entraîneur allemand de Bruges, Christoph Daum, ne se sépare jamais d’un drôle de porte-bonheur : une balle datant de la Première Guerre mondiale. Anecdote.
Christoph Daum n’a pas peur de faire des déclarations étonnantes. Pas seulement en matière de football, comme quand il affirme que le titre est promis à Anderlecht, que Bruges n’a pas cette ambition. Récemment, il a avoué qu’il rêvait d’être transformé en femme, l’espace de 24 heures.
Maintenant, il révèle qu’il garde toujours en poche un porte-bonheur pas banal : « Quand j’étais entraîneur de Cologne, une très vieille dame est venue me trouver. Elle a glissé dans ma main une balle datant de la Première Guerre mondiale et m’a expliqué que cette balle lui avait permis de survivre aux deux guerres. Elle m’a aussi dit : – J’ai 96 ans, j’approche de la fin de ma vie, il faut absolument que Cologne remonte en Bundesliga, je veux offrir ce porte-bonheur au club. J’ai été très ému, et quelques mois plus tard, Cologne est effectivement remonté. Depuis lors, j’ai toujours cette balle dans ma poche. »
Pierre Danvoye, Sport/Foot Magazine