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Philippe Bormans, CEO de l’Union, sur la réforme du championnat: « Revenir à seize clubs ne serait certainement pas une catastrophe »

Il a exprimé son espoir de trouver une solution commune au sujet du format de la compétition de la saison à venir, jeudi après-midi avant la discussion avec les autres clubs professionnels.

Philippe Bormans, CEO de l’Union Saint-Gilloise, a exprimé son espoir de trouver une solution commune au sujet du format de la compétition de la saison à venir, jeudi après-midi avant la discussion avec les autres clubs professionnels. « Il est important que nous nous serrions les coudes dans l’intérêt du football belge. Il n’est plus question d’une assemblée générale, car trois groupes mixtes (comprenant des petits et grands clubs) discutent de l’avenir de la Ligue à Louvain. » Le CEO de la Pro League, Lorin Parys, se joint à chaque groupe séparément.

« Je m’attends à une discussion ouverte, bien que nous en ayons déjà eu une à plusieurs reprises », a déclaré Bormans. « C’est dommage que nous soyons divisés en trois groupes, même si je le comprends, car il y a beaucoup de clubs professionnels. J’espère que nous nous écouterons beaucoup les uns les autres, peut-être que des choses utiles en sortiront. »

Le CEO des vice-champions comprend également la décision de ne pas organiser de vote. « Si 17 clubs sur 24 soutiennent un certain modèle, il faut le prendre au sérieux et l’examiner. » Bien que le paquet « 14-18 » initialement proposé ne soit pas à rejeter en bloc, Philippe Bormans a déclaré : « Peut-être devrions-nous le défaire pour essayer de faire passer les bons points qu’il contient déjà. » Y compris les playoffs. « Je pense qu’ils ont déjà prouvé qu’ils pouvaient fournir beaucoup d’attractivité et ils se sont désormais également bien établis. Nous devons donc trouver un terrain d’entente, une solution. Nous devons apporter la stabilité au format belge. Ce n’est pas agréable pour les fans, ce n’est pas agréable pour nos partenaires, donc une telle solution est importante. Une absence de décision aujourd’hui est également une décision et cela signifie que nous reviendrions à 16 clubs. En ce qui me concerne, ce n’est certainement pas une catastrophe ».

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