Johan Geeroms, Director Risk Underwriting Benelux chez Allianz Trade

« La crise oblige les entreprises à gérer efficacement les risques. »

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14 novembre 2022, 06:00 Mise à jour le: 14 novembre 2022, 09:48

Nous avons rarement connu une confluence simultanée de tant de facteurs négatifs. Voilà ce qu’affirme Johan Geeroms d’Allianz Trade, le leader mondial de l’assurance-crédit. En tant qu’entreprise, mieux vaut donc vous armer contre cette véritable tempête.

Le baromètre économique indique de solides orages. Johan Geeroms, Director Risk Underwriting Benelux chez Allianz Trade, évoque plusieurs études réalisées par son propre département de recherche. « Le coup le plus dur est encore à venir », prévient J. Geeroms. Il souligne la confluence simultanée de plusieurs facteurs, comme la crise énergétique source d’une forte inflation, avec des hausses de salaires élevées à la clef. « Les entreprises grandes consommatrices d’énergie en Europe sont les plus susceptibles de rencontrer des problèmes à cause de ce phénomène.

Parallèlement, la force du dollar entraîne une hausse du prix de nombreuses matières premières. Cela s’applique à toutes les ‘commodities’ dès lors qu’elles sont libellées en dollars américains (USD). L’effet de change négatif de l’euro par rapport à l’USD provoque ainsi une inflation importée. La politique monétaire s’est également resserrée, rendant les emprunts plus coûteux. Et de nombreuses entreprises sont déjà confrontées à des retards de paiement, ce qui cause des problèmes à d’autres entreprises également », analyse Johan Geeroms.

« Actuellement, l’effet de retard se fait toujours sentir, le véritable choc reste encore à venir. » Johan Geeroms

« Alors que l’économie se remettait encore de la pandémie de coronavirus et de toutes ses retombées, la Russie a envahi l’Ukraine. On ne pouvait pas imaginer de pire moment. » Et cette véritable tempête persiste tant que la guerre se poursuit, alors que l’incertitude due au coronavirus reprend de la vigueur. L’augmentation rapide des faillites en Europe, avec une moyenne de +14 % pour l’année prochaine, constitue déjà un signal d’alarme. Si les multinationales peuvent encore, dans une certaine mesure, répercuter la hausse des coûts, c’est beaucoup moins le cas pour les indépendants et les PME. Souvent, ces derniers ne répercutent pas (entièrement) la hausse des prix des intrants afin de conserver leur part de marché.

« Les PME voient leurs marges mises sous pression à une vitesse vertigineuse et elles sont donc beaucoup plus vulnérables, car elles n’ont pas le ‘pricing power’ nécessaire pour répercuter cette pression sur les clients et les consommateurs privés. » Ces consommateurs baissent aussi progressivement les bras. Si, pendant la période du coronavirus, ils pouvaient encore économiser, car consommer était tout bonnement impossible en raison des confinements, aujourd’hui, ils sont de plus en plus souvent confrontés à une augmentation des factures. Cela crée une spirale négative encore plus importante. Dans la zone euro, rien que cette année, les citoyens ont dépensé 70 milliards d’euros de moins. « Actuellement, l’effet de retard se fait toujours sentir, le véritable choc reste encore à venir. »

« Se développer en période d’incertitude »

Même – et surtout – pendant une telle période d’incertitude économique, il est possible de s’armer en tant qu’entreprise contre ce cocktail de risques. Poursuivre ses activités, voire se développer, peut se faire de manière responsable. À condition de prévoir les garanties nécessaires. Avec son paysage de PME développé, la Belgique est particulièrement vulnérable, explique Johan Geeroms. « Nous constatons déjà une augmentation de 41% des faillites en Belgique cette année, pour l’année prochaine nous prévoyons encore une augmentation de 12% (source : Business Insolvency Report). Je recommande donc aux entreprises de veiller à la bonne répartition de leur clientèle, afin de ne pas être trop dépendantes de quelques gros clients. »

Il est important de savoir avec qui vous faites des affaires. Les assurances-crédit d’Allianz Trade vous offrent la sécurité. Une assurance-crédit vous indemnise lorsque les choses tournent mal pour vos clients. C’est pourquoi la devise d’Allianz Trade est ‘We secure, You Trade’. Allianz Trade couvre à la fois le risque de non-paiement (dû à des problèmes de liquidité) et d’insolvabilité avérée par le biais de son assurance-crédit.

Demandez donc votre analyse de risque gratuite dès aujourd’hui. Vous aurez ainsi un aperçu du risque de crédit de votre portefeuille de clients, tant pour les nouveaux clients que pour les clients existants. Allianz Trade analyse le profil de risque des débiteurs de ses clients en tenant notamment compte du secteur et du pays. Elle calcule en outre la probabilité que votre client rencontre des difficultés financières au cours des 12 prochains mois.

Allianz Trade compte plus de 62 000 clients dans le monde et dispose d’une base de données actualisée de 83 millions d’entreprises.

Infos : www.allianz-trade.be – +32 (0)2 289 31 11