« Le féminisme n’est pas un « mouvement », mais rien de moins que la deuxième grande étape du processus de démocratisation des sociétés européennes. »
Dans une tribune au Monde, la sociologue franco-israélienne Eva Illouz juge que le « néoféminisme » est décrié aujourd’hui « à cause du décalage entre la profondeur des changements qu’il exige de la classe qui le domine et la faiblesse de ses moyens et de l’appareil institutionnel qui le soutient ».