Simple, la nouvelle irrévérence de la chorégraphe Ayelen Parolin. © François Declercq

In Movement

Panorama réjouissant de la danse contemporaine, le festival des Brigittines offre la possibilité de rattraper certains musts récents comme Golem, le duo entre glaise et chair de Julien Carlier et Mike Sprogis, Simple, la nouvelle irrévérence d’Ayelen Parolin, ou encore Fruit Tree, la dernière incursion de Lara Barsacq dans l’histoire des Ballets russes.

L’événement propose aussi quelques découvertes: Tamanegi, solo où la chorégraphe et danseuse japonaise Ikue Nakagawa décortique la constellation familiale, Protéiforme, où le b-boy Benoît Nieto Duran livre un battle en solitaire, ou Troisième nature, l’exploration à la frontière du vivant et du non-vivant, de l’humain et du non-humain du duo Demestri-Lefeuvre.

Parallèlement aux spectacles, le festival organise une réflexion sur les urgences du réchauffement climatique et le rôle que le secteur culturel peut jouer, au travers d’une conférence et d’ateliers pour les professionnels.

Aux Brigittines, à Bruxelles, du 10 au 26 mars.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Contenu partenaire