Le chef de l’Etat libanais Michel Aoun a affirmé mercredi que le Premier ministre Saad Hariri, qui a annoncé sa démission le 4 novembre de Ryad, était « détenu » en Arabie saoudite, selon le compte Twitter de la présidence.
« Rien ne justifie que M. Hariri ne revienne pas après 12 jours. Nous le considérons donc comme en captivité et détenu, ce qui est contraire à la convention de Vienne » régissant les rapports diplomatiques entre pays, est-il écrit dans un tweet rapportant les propos du président Aoun.