Des victimes des attentats de Bruxelles et Paris attaquent en justice le réseau Twitter. Elles réclament des dédommagements au réseau social, qui n’a pas mis en place de garde-fou pour éviter de répandre la propagande djihadiste.
Des victimes des attentats de Bruxelles et Paris attaquent en justice le réseau Twitter. Elles réclament des dédommagements au réseau social, qui n’a pas mis en place de garde-fou pour éviter de répandre la propagande djihadiste.