Après les télécommunications, l’énergie et les services postaux, c’est le chemin de fer que l’Union européenne s’apprête à libéraliser. L’idée est d’améliorer la ponctualité des trains et faire baisser les tarifs. Mais est-ce vraiment une bonne idée ?
Après les télécommunications, l’énergie et les services postaux, c’est le chemin de fer que l’Union européenne s’apprête à libéraliser. L’idée est d’améliorer la ponctualité des trains et faire baisser les tarifs. Mais est-ce vraiment une bonne idée ?