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Plus d’un Belge sur trois confronté à l’éjaculation précoce

Le Vif

L’éjaculation précoce touche 35% des Belges. Ce chiffre ressort d’une enquête menée par l’institut de sondage IPSOS dont les résultats ont été rendus public mercredi lors d’une conférence de presse. Le problème d’éjaculation précoce est celui qui est le plus souvent éprouvé, devant les problèmes de désirs (25% des Belges), les troubles de l’érection (23%) ou l’absence d’éjaculation(12%).

Ces troubles ont des répercussions sur les hommes. « Le premier des impacts néfastes éprouvés par les hommes souffrant d’éjaculation précoce sur leur vie de couple est la perte de confiance en soi (dans 75% des cas) ». Suivent « le sentiment de ne pas pouvoir procurer de bien-être à sa partenaire (dans 69% des cas) et par la perte du plaisir sexuel (dans 65% des cas). »

L’enquête révèle également que trois Belges sur quatre estiment que leur vie sexuelle pourrait être améliorée. En outre, 80% des sondés considèrent qu’il est important d’avoir une vie sexuelle de qualité.

Concernant l’éjaculation précoce, l’avis des femmes est plus
tempéré. « Seule une femme sur cinq déclare avoir été confrontée à un problème récurrent d’éjaculation précoce de leur partenaire », indique le communiqué. « Néanmoins, une femme sur deux dont le partenaire souffre d’éjaculation précoce souhaiterait que ce dernier ait plus de contrôle sur son éjaculation et puisse la retarder. »

Une majorité des hommes souhaiteraient d’ailleurs pouvoir retarder leur éjaculation (56%), et 8 hommes sur 10 se disent prêts à prendre un médicament si leur médecin généraliste le leur prescrivait.

« Paradoxalement, et malgré ce constat, seul un quart des hommes qui souffrent d’éjaculation précoce s’informent sur les solutions à apporter à ce trouble. »

Belga

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