Résistance

Depuis le samedi 6 février, des milliers de Birmans manifestent aux cris de « Non à la dictature », « Nous voulons notre chef », « Respectez nos votes », après le coup d’Etat du 1er février et l’arrestation de la « Première ministre » Aung San Suu Kyi. Malgré le risque de répression, des rassemblements sont organisés dans plusieurs villes dont Naypyidaw, Rangoun et Mandalay. La mobilisation est inédite depuis la contestation de 2007 qui avait été réprimée dans le sang (31 morts selon l’ONU).

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