« Si Big Pharma veut conserver son tout nouveau capital sympathie, il est temps qu’elle mette les bouchées doubles pour assurer une distribution universelle et rapide de ses vaccins. »

L’économiste Philippe Askenazy a complété l’avertissement de sa chronique du Monde par un « quitte à perdre de l’argent » auquel les sociétés pharmaceutiques réfléchiront à deux fois.

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