» L’emprise de l’imaginaire numérique n’est pas seulement physique, elle est aussi mentale, tous les travailleurs étant « programmés » pour réaliser des objectifs chiffrés.  »

Le juriste français Alain Supiot se demande dans Marianne comment mettre nos nouvelles machines numériques au service d’un régime de travail réellement humain au lieu de concevoir des travailleurs sur le modèle de ces machines.

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