Macron divise entre deux tours

François Hollande,  » cocufié politiquement  » par Valls et Macron, aurait de toute façon été largué s’il avait été le candidat socialiste à sa propre réélection. Quant à François Fillon, par ses grotesques dénégations dans les affaires du moment, il est le  » serpent qui s’est mordu la queue  » de par son obstination.

Du côté de Marine Le Pen, son score est à prendre au sérieux : elle incarne les Français qui en ont marre de la violence, des actes terroristes gratuits, lesquels occasionnent un climat d’insécurité quotidien. Avec le contexte d’une immigration non maîtrisée.

Pour Jean-Luc Mélenchon, que son franc-parler a propulsé dans le trio de tête, je ne sais me faire une idée sur sa capacité réelle d’occuper le fauteuil présidentiel, dans l’hypothèse où il aurait été retenu.

Reste le candidat le plus plébiscité aux yeux des sondages et des électeurs en la personne d’Emmanuel Macron. Intelligent, brillant économiste, à 39 ans, il affiche un profil jeune et plein d’enthousiasme…

Ce qui m’a surpris, c’est justement ce  » débordement euphorique  » comme vainqueur le soir du 23 avril dernier : à travers le long texte lu, au contenu qui s’apparentait à un  » discours d’investiture de la fonction présidentielle « . Et c’est bien ses premiers pas démesurés et son manque d’expérience qui m’interpellent. Mesure-t-il bien l’ampleur de la tâche qui l’attend ?

Il n’est pas donné suite aux lettres ouvertes ou portant des adresses incomplètes. La rédaction raccourcit certaines lettres pour permettre un maximum d’opinions.

Francis Hance, Mettet

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