Les perdants de l’histoire

Merci à vous d’avoir enfin levé ce tabou qui interdisait, jusqu’à aujourd’hui, de critiquer ces deux pontes de la finance, patriarches sénescents de l’establishment belge (voir notre dossier  » Les perdants de l’histoire  » dans Le Vif/L’Express du 15 août). La reconnaissance de l’impéritie managériale de ces dignitaires d’un autre âge doit réjouir tous les petits épargnants du pays qui, en  » bon père de famille « , confiaient leur bas de laine à ces incompétents aux mimiques suffisantes et pédantes. Ces spoliés l’ont été deux fois, d’abord en perdant toutes leurs économies après le krach de Fortis, ensuite en payant un surplus d’impôts pour renflouer cette banque soutenue par les  » amis  » politiques. Puissent les médias nous épargner à l’avenir les commentaires de ces éternels donneurs de leçons. Merci aussi d’avoir reconnu les sans-grade anonymes qui tentent chaque jour de faire tourner rond cette Belgique de plus en plus menacée de régression économique et culturelle.

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