En images: la garde rapprochée d’Emmanuel Macron

Le seul de la garde rapprochée avec une expérience d’élu (vice-président du conseil général de Saône-et-Loire, au centre de la France), il a travaillé dans le privé.

Sans lui, rien ne serait arrivé. Fundraiser, il récolte l’argent, notamment auprès de riches donateurs, qui permet au parti sans élus de se financer.

L’ex-directeur de cabinet de Macron est doté d’une intelligence rapide qui en fait le jumeau du candidat. Probable futur secrétaire général de l’Elysée.

Député PS des Alpes-de-Haute- Provence, il incarne le combat anti-FN, lui qui s’est retiré au profit de Christian Estrosi lors des régionales en Paca, en décembre 2015.

Une fois En marche ! lancé, cet ingénieur des eaux et forêts voulait s’occuper de sa famille. Macron l’a retenu. Il organise avec succès le premier meeting parisien.

Normalien, agrégé de lettres classiques, il se dit de droite, aime l’opéra et le latin. Il a dirigé une agence de communication avant de devenir le M. Com de Macron.

Strauss-kahnien d’origine, il entre au cabinet de Macron au ministère de l’Economie et fait partie du noyau dur qui lance En marche ! Il est tête chercheuse en idées neuves.

Le ministre de la Défense apporte à Macron de la crédibilité dans les domaines régaliens. Il partage sa ligne proeuropéenne et sa volonté de rassemblement.

Cet ancien du cabinet de DSK au ministère de l’Economie apporte sa vision, européenne et sociale-libérale, et… de l’ordre : il a rationalisé les propositions pour en faire un programme.

Ami personnel, économiste, spécialiste du droit du travail, il prépare les réformes du droit du travail, de la formation professionnelle, de l’assurance-chômage.

Le maire de Lyon est le premier soutien politique de poids. Très vite, c’est lui qui théorise l’empêchement de François Hollande du fait de sa faible popularité.

En 2002, il partage le prix du meilleur jeune économiste de France avec Thomas Piketty, puis passe par le cabinet de Macron au ministère de l’Economie. Il enseigne l’économie à Sciences po.

Premier député PS à avoir cru en Macron, il se multiplie dans les médias pour dire tout haut, à coups de formules ciselées, ce que le candidat pense, mais tait en public.

Il est le directeur de campagne (officieux). Le maire de Lyon Gérard Collomb l’a dépêché auprès de Macron. Il apporte son savoir-faire en matière de campagnes.

Ex-avocate d’affaires, cette diplomée d’HEC passée par Dassault Systèmes devient directrice de cabinet de Macron à Bercy, puis exerce la même fonction au sein d’En marche !