Ce lundi, 194 élèves figurent encore sur les listes d’attente pour une inscription en 1e année du secondaire, au terme du travail d’optimalisation de la Commission interréseaux des inscriptions (Ciri), a-t-on appris auprès du cabinet de la ministre de l’Enseignement obligatoire Marie-Dominique Simonet.
Cela signifie que, sur les 42.976 formulaires d’inscription, 99,57 % des élèves ont reçu une place dans un établissement correspondant à l’une de leurs préférences. Des places vont encore se libérer une fois que les élèves qui ont reçu une proposition dans une école correspondant à une de leurs meilleures préférences auront répondu à cette proposition.
Actuellement, 205 élèves dans ce cas peuvent encore répondre dans le délai imparti de sept jours. Leur attentisme ne signifie pas nécessairement de la négligence; il peut s’expliquer par des situations spécifiques telles que l’attente d’une décision judiciaire dans une procédure de divorce, par exemple, fait-on observer au cabinet Simonet.
Au niveau des implantations scolaires, seuls 62 établissements, sur les 92 qui ont affiché complets à un moment ou un autre de la procédure d’inscription, le sont encore effectivement. Cela signifie que des places ont été libérées également dans des établissements « demandés », résultat du travail d’optimalisation de la Ciri ainsi que de la création de nouvelles places depuis juillet dans certains établissements complets.
La Ciri met un terme le 1er septembre à sa gestion des préférences, fixant ainsi les élèves dans leur meilleure préférence acquise. Seuls resteront en liste d’attente les élèves ne figurant en ordre utile dans aucune école de leurs préférences.
Les commissions zonales d’inscription des différents réseaux prennent désormais le relais en accompagnant au cas par cas les familles qui le souhaitent dans leur recherche d’une école. Par ailleurs, le site www.inscription.cfwb.be, mis à jour quotidiennement, continue de signaler les écoles disposant de places disponibles. La Ciri entamera à la mi-septembre l’évaluation de son travail.
Le Vif.be, avec Belga