Le ministre-président wallon a eu le sens de la formule pour expliquer l’impossibilité d’ouvrir les boîtes de nuit.
Parmi les grands déçus de la nouvelle phase de déconfinement, il y a incontestablement les boîtes de nuit. Elio Di Rupo (PS), ministre-président wallon, a expliqué ce matin sur l’antenne de Bel RTL qu’il le regrettait, mais qu’il s’agit bien là d’un lieu qui constitue potentiellement un « foyer incroyable de la propagation de l’épidémie ». Pour le signaler, il a eu cette très belle phrase: « Si nous pouvions aller dans une discothèque et s’épivarder un peu, ce serait très agréable ». Le verbe s’épivarder, apprend-on sur la toile, »est principalement utilisé au Québec afin de désigner un comportement un peu excentrique et joyeux, une hyperactivité, des sorties fréquentes ou une capacité à mettre tout sens dessus dessous ».
https://twitter.com/grosfilley/status/1268449507689316353Fabrice Grosfilleyhttps://twitter.com/grosfilley
"si nous pouvions aller dans une discothèque et s’épivarder un peu ce serait très agréable" @eliodirupo dans le texte : https://t.co/H5f1oQmPlt
— Fabrice Grosfilley (@grosfilley) June 4, 2020
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