Les femmes, plus touchées par la hausse de la consommation de collations sucrées et salées. © getty images

Covid: confinement rime avec confiseries

Le Vif

Sciensano s’est penché sur les habitudes alimentaires durant la période du premier confinement – de mi-mars à mi-mai. Parmi 20% des répondants à l’enquête, certains ont changé leurs habitudes en augmentant leur consommation de collations sucrées et salées.

Durant la première période de confinement (mi-mars à mi-mai), Sciensano a mené trois enquêtes en ligne qui ont collecté les réponses de plus de 40 000 personnes de 18 ans et plus. A la mi-avril, l’organisme de santé publique s’est penché sur les habitudes alimentaires.

Il en ressort que 80% des personnes interrogées n’auraient pas changé leurs habitudes durant la crise. Parmi les 20% restants, les principaux changements intervenus concernent une diminution « significative » de la consommation de fruits et légumes (surtout chez les hommes), une hausse de la consommation de collations sucrées et salées (surtout chez les femmes et les diplômés de l’enseignement supérieur) et une diminution de la consommation d’aliments préparés à l’extérieur.

Une personne interrogée sur quatre a, par ailleurs, indiqué « avoir pris du poids » entre la mi-mars et la mi-mai.

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