Une étude menée par un consortium d’universités (ULB – VUB-UCLouvain – KULeuven) conclut à l’impossibilité d’une transition généralisée vers le vote électronique pour les élections de 2024.
2024? 2034? Disons plutôt 2034… L’étude menée par un consortium d’universités (ULB – VUB-UCLouvain – KULeuven) conclut à l’impossibilité d’une transition généralisée vers le vote électronique pour les élections de 2024. Sécurité, transparence et vérifiabilité insuffisantes et coûts élevés, lit-on dans leurs conclusions.
Cela alors que la technologie a évolué et que la crise sanitaire a familiarisé la population avec les connexions à distance, déplore le député Christophe Bombled (MR). « Une transition à l’horizon 2034 peut être envisagée, souligne la ministre de l’Intérieur, Annelies Verlinden (CD&V) », l’étude proposant de mettre en place un projet pilote combinant des aspects en ligne et hors ligne lors du scrutin de 2024.