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À Bruxelles, les négociateurs entameront lundi une nouvelle semaine d’échanges qui vont s’intensifier

Les représentants des six formations (socialistes, écologistes; DéFI et Open Vld) à la recherche d’un accord de majorité pour les cinq prochaines années en Région bruxelloise ont achevé, vendredi soir sur le coup de 19h30, une première semaine de négociations. En marge du black-out médiatique qu’ils se sont imposés, depuis le milieu de la semaine, on a appris qu’ils se retrouveraient autour de la table, dès lundi matin, à 9h30.

A l’entame de la réunion du jour, un des participant(e)s avait estimé qu’à peu près la moitié du chemin, voire « un peu plus », du chemin avait été fait, en première lecture/réécriture, ligne par ligne, du document de base du formateur Rudi Vervoort (PS).

La réunion de vendredi après-midi semble leur avoir permis d’avoir « presque » bouclé un à deux chapitres supplémentaires, si l’on en croit un négociateur.

Il leur reste plusieurs gros obstacles à franchir, dont tout le bi-communautaire.

Mais à leur sortie, les deux formateurs Rudi Vervoort (PS) et Elke Van den Brandt ont rejoint en sentiment généralement partagé de bonne progression, jusqu’à présent.

La semaine prochaine, les travaux vont encore s’intensifier, y compris le 11 juillet, jour de la fête de la Communauté flamande, mais seulement en ce qui concerne les francophones (PS; Ecolo; DéFI). Ceux-ci plancheront sur les matières personnalisables qu’ils sont appelés à gérer au profit du million d’habitants francophones de la Région-capitale.

Sauf catastrophe, l’objectif est toujours d’aboutir d’ici le 21 juillet, du moins en ce qui concerne les prestations de serment des futurs ministres. Le vote de confiance pourrait intervenir soit juste avant la Fête nationale, soit juste après.

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