Quatre trucs marrants à faire avec les tests ADN

Muriel Lefevre

Aujourd’hui, les tests ADN sont utilisés pour toutes sortes de choses comme faire un test de paternité ou innocenter quelqu’un qui est accusé d’un meurtre. Mais ce n’est que la partie visible de l’iceberg. Voici quatre choses marrantes que l’on peut faire avec des tests ADN.

1. Faire son arbre généalogique

Un simple test ADN peut vous découvrir toute sorte d’ancêtres. Des sites web comme Ancestry.com comparent votre ADN avec l’ADN des gens réparti sur la surface du globe dans l’espoir de pouvoir vous mettre en contact avec des personnes de votre arbre généalogique. Le test peut aussi déterminer votre origine ethnique.

2. Résoudre d’anciens mystères

Le dernier en date est la découverte de la tombe du roi d’Angleterre Richard III. Dans un parking de Leicester, on a retrouvé le squelette d’un homme bossu qui avait été blessé à la guerre. Les scientifiques n’ont pourtant pu établir avec certitude qu’il s’agissait du roi qu’après un test ADN. Celui-ci a pu comparer l’ADN du squelette avec celui de Michael Ibsen, un descendant direct de la soeur du roi.

L’ADN peut être conservé pendant des millénaires s’il est gardé dans un endroit froid et sombre. C’est pourquoi les scientifiques ont pu récupérer l’ADN des hommes de Néandertal, disparus il y a presque 30.000 ans. Ils espèrent, de cette façon, mieux comprendre l’évolution de l’homme et, qui sait, faire revenir les néanderthaliens à la vie.

3. D’où vient votre chien ?

D’où vient Pépète ? Pourquoi fait-il des trous dans le jardin? Votre chien ne peut vous le dire, mais bien son ADN. C’est en tout cas ce qu’affirme le site WisdomPanel.com qui compare l’ADN de votre bâtard avec celui de 190 races différentes afin de déterminer son origine génétique. Cela va permettre au maître d’adapter le dressage, la nourriture ou tout simplement mieux répondre aux besoins spécifiques du chien selon le site.

4. Faire régime

De plus en plus en plus de scientifiques pensent que notre poids est en grande partie lié à nos gènes. Les scientifiques ont déjà déterminé plusieurs variantes qui prédisposent à l’obésité. Mais ce n’est pas pour autant que l’on doit se ruer sur un régime ADN personnalisé. Si le surpoids est en partie déterminé par la génétique, les connaissances sur le sujet sont encore très limitées. Les scientifiques essayent encore de savoir comment on peut combiner la génétique, l’alimentation et le sport pour aider les personnes à perdre du poids.

(TE) /Trad ML

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