Pour vivre en bonne santé, rien de tel qu’un petit-déjeuner sain. Alors que les nutritionnistes le rappellent sans cesse, un Belge sur cinq saute le premier repas de la journée. Stressés à l’idée d’arriver en retard à l’école ou au boulot, ils ne prennent pas le temps de manger. Ce qui ne risque pas d’arriver à Bart De Wever puisque malgré son agenda chargé, l’homme politique aspire tous les matins à son petit-déjeuner sain.
« Le petit-déjeuner est le seul repas où je peux manger calmement à la maison, et donc pas à mon bureau ou pendant une réunion » déclare de Wever à Bodytalk. « Depuis que mon poids s’est stabilisé il y a six mois, tous les matins je mange presque la même chose. Cela peut sembler monotone, mais j’ai composé ce petit-déjeuner modèle moi-même à base d’ingrédients que j’aime bien. Mon premier repas quotidien est constitué de salade fraîche, de carottes râpées, de crevettes grises et de surimi. Le tout assaisonné d’huile d’olive extra vierge et de fleur de sel. J’y ajoute trois tranches de pain noir pumpernickel et un yaourt maigre aux fruits. Si mon petit-déjeuner contient beaucoup de protéines et de vitamines, il comporte très peu de glucides et revient à environ 550 calories ».
Plus mince en déjeunant
Beaucoup de gens prétendent ne rien pouvoir avaler le matin. Pourtant, il vaut vraiment la peine de réhabiliter ce repas trop souvent négligé. Plusieurs études révèlent que les personnes qui déjeunent régulièrement, sont plus minces et en meilleure santé que leurs congénères qui débutent la journée l’estomac vide. En effet, en sautant le petit-déjeuner, on absorbe plus de calories dans la journée que si on mangeait le matin. Autant les hommes que les femmes qui démarrent la journée à jeun, consomment plus de produits gras et mauvais pour la santé dans le courant de la journée. Il n’est pas tout à fait sûr que ces habitudes alimentaires doivent être imputées uniquement au fait de déjeuner ou non. Il est probable que les personnes qui déjeunent régulièrement vivent plus sainement et bougent plus souvent.
Marleen Finoulst
