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Tax-shift : « On ne touche pas aux voitures de société »

« Un tax-shift de plusieurs milliards avec au final un abaissement de la pression fiscale », c’est ainsi que Bart De Wever considère le tax-shift. Son seul tabou: les voitures de société, a-t-il indiqué vendredi dans Het Laatste Nieuws.

« Le tax-shift ne doit pas être une opération visant à prendre quelque part pour remettre ailleurs. Voyons ce qui a été mené en Autriche: on y a baissé les impôts de 5 milliards alors qu’à peine pour 3 milliards de nouvelles taxes ont été créées. Je trouve que c’est un bon exemple », explique-t-il.

« Je suis ouvert à tout mais il y a peu de marge de manoeuvre dans les départements fédéraux. C’est dans la sécurité sociale que les dépenses continuent d’augmenter », dit-il encore.

Bart De Wever n’a pas de tabou sauf un: la déductibilité fiscale des voitures de société dont il a été question récemment. « J’opte pour la stabilité. Le gouvernement Di Rupo avait changé les règles en cours de route. Je ne veux pas duper les gens une deuxième fois ».

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