"Portés par l'émotion d'être ensemble, de nombreux jeunes ne veulent plus de contraintes." © belgaimage

Une déshumanisation fatale

Au début du xxie siècle, en Occident, les aînés étaient encore souvent tisseurs de solidarité entre générations et cultures mais, avec un individualisme de plus en plus triomphant ainsi qu’une gérontophobie et paternophobie en augmentation, la distanciation sociale intergénérationnelle avait déjà commencé avant le coronavirus. Aujourd’hui, ce drame humain semble ignoré de beaucoup, qui n’en mesurent pas la conséquence: une déshumanisation, ni plus ni moins, à grande échelle. Autrement dit, une régression pouvant être aussi fatale à une partie de l’humanité qu’une pandémie mortelle.

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