« Le droit international est encore immature dans son approche de la relation de l’humain avec la nature particulièrement dans son volet pénal. »

Delphine Misonne, spécialiste en droit de l’environnement (université Saint-Louis – Bruxelles) pointe la faiblesse juridique à l’égard des atteintes les plus sévères à l’environnement, en préambule à une conférence sur le crime d’écocide que donnera le juriste Philippe Sands, ce 15 novembre, à l’université Saint-Louis.

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