« Mes clientes sont la preuve vivante d’un crime d’Etat non avoué. Si elles se battent pour que ce crime soit reconnu, c’est pour leurs enfants, leurs petits-enfants. Car le traumatisme se transmet de génération en génération. »

L’avocate Michèle Hirsch, à l’ouverture du procès intenté contre l’Etat belge par cinq femmes métisses pour crimes contre l’humanité commis entre 1948 et 1963.

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