Brexit: un dernier délai fixé au 23 novembre

Le lundi 23 novembre, pourrait bien être le jour décisif dans les négociations entre Bruxelles et Londres sur les relations futures entre les deux parties, entre autres sur le plan commercial. S’il n’y a pas d’accord ce jour-là, le texte n’aura plus le temps d’être traduit dans toutes les langues officielles de l’UE, a estimé mercredi une source européenne.

On pourrait en revanche négocier au-delà de lundi, pour plusieurs semaines, si l’on accepte que la ratification nécessaire des deux côtés se fasse provisoirement uniquement avec une version du texte en anglais.

Le temps presse en effet pour obtenir un accord, car il faudrait une formalisation et une ratification d’un éventuel accord avant la fin de l’année, pour qu’il puisse entrer en vigueur le 1er janvier. Or, la ratification prend du temps, certainement si le texte doit être traduit en différentes langues côté européen.

Pour le moment, la possibilité d’un accord reste elle-même incertaine, tant les points de désaccord subsistent, selon une source proche du dossier. Ce sont les mêmes depuis des mois: la pêche, le mécanisme de résolution des conflits et les conditions d’une concurrence équitable.

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