La SNCB tient à ses voitures de 1ère classe

Le Vif

Environ 3 % des voyageurs choisissent la 1ère classe à bord des trains. Ils représentent 6 % des recettes de la SNCB.

Au vu de ces chiffres communiqués par le ministre sortant de la Mobilité, François Bellot (MR), Tomas Roggeman (N-VA) se pose la question de l’opportunité du maintien de cette 1ère classe. Le ministre lui a répondu qu’il existe une  » demande claire de la part de la clientèle, navetteurs journaliers et public d’affaires, surtout « . La SNCB, qui espère attirer davantage de voyageurs, compte sur ce segment du public  » pour qui le confort est clairement un élément décisif « .

En outre, poursuit la société de transports, la conversion des voitures de 1ère classe en voitures de 2e classe nécessiterait un investissement élevé. Alors que la différence de prix, à l’achat, entre ces deux types de véhicules est relativement peu importante : en 2015, une voiture M7 de 2e classe coûtait 1 816 247 euros et son équivalent de 1ère classe 1 856 516 euros.

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