La libération de Carlos Ghosn par la justice nippone va permettre à l’ancien PDG de Renault de « se défendre librement et souverainement », a déclaré mercredi le ministre de l’Economie Bruno Le Maire, estimant que c’était « une bonne chose ».
La libération de Carlos Ghosn par la justice nippone va permettre à l’ancien PDG de Renault de « se défendre librement et souverainement », a déclaré mercredi le ministre de l’Economie Bruno Le Maire, estimant que c’était « une bonne chose ».