Les suspects de viol peuvent être contraints à subir un test au VIH et à l'hépatite C, comme le prévoit un arrêté royal du ministre de la Justice Koen Geens (CD&V) entré en vigueur le 31 mai. "Il est important pour la victime de pouvoir lever l'incertitude autour d'une infection", selon le ministre. L'information est révélée vendredi par Het Laatste Nieuws.