Le Parlement a accepté dimanche la démission du gouvernement d'Adel Abdel Mahdi dans un Irak en deuil, y compris dans les régions sunnites jusqu'ici à l'écart de la contestation, alors que les violences ont fait un nouveau mort à Bagdad.
Pour les élections, pour former le gouvernement puis pour manifester contre lui, à chaque rendez-vous de la vie politique irakienne, un homme fait régulièrement pencher la balance, le turbulent et versatile Moqtada Sadr.