Mons, un 14 octobre. Elio Di Rupo, bourgmestre depuis l'an 2000, y livre-t-il sa dernière bataille communale ? Nicolas Martin tire la liste socialiste, Elio Di Rupo la pousse. Le premier veut en finir avec le second mais ne peut pas le dire, le second sait que le premier veut en finir avec lui, mais ne peut rien y faire, et le PS craint de perdre sa majorité absolue, élargie à un CDH sur la défensive. Dans l'opposition, le libéral Georges-Louis Bouchez mène une campagne offensive, à la tête de sa liste Mons en mieux. A ce jeu tendu, Ecolo pourrait s'ériger en arbitre. Et le PTB en trouble-fête... s'il le voulait.