En Belgique, moins de cinq cas par an de syndrome du choc toxique (SCT) sont rapportés au centre de référence, explique lundi la Dr. Axelle Pintiaux, cheffe du service de gynécologie à l'hôpital Erasme. Ces cinq dernières années, trois cas ont été recensés. Une bonne hygiène et un changement de protection toutes les quatre à six heures, qu'il s'agisse d'un tampon ou d'une coupe menstruelle, font partie des recommandations des spécialistes afin d'éviter un SCT, potentiellement mortel.