L'essayiste et homme de presse français Jean-Louis Servan-Schreiber fait la part des choses entre les acquis du progrès (recul de la pauvreté et de la violence, diffusion du savoir...), et ses risques pour l'humanité (mutations effrénées, menace de l'intelligence artificielle...) " Je préfère autant me tromper en vivant bien ", assure-t-il. Une philosophie.