"Si la pluviosité du mois de juin est semblable à celle que l'on a habituellement, à savoir 71 mm, ce ne sera pas une trop grosse catastrophe pour les cultures", déclare vendredi Etienne Ernoux, agriculteur et président de la commission productions végétales de la Fédération wallonne de l'Agriculture (FWA). "Le mois de juin permettra de dire si ça va passer ou casser", ajoute-t-il alors que la pluviosité des mois d'avril et mai était extrêmement basse, mettant à mal les différentes cultures.