Nos universités sont contraintes à se faire concurrence. Au sein de la Communauté française et sur le marché international. Il faut pousser au plus grand nombre d'inscrits. Coulisses d'une bataille aux conséquences insoupçonnées, aussi pour les étudiants.
Sur les 48.843 élèves de sixième primaire qui ont présenté le CEB (certificat d'études de base) en cette fin d'année scolaire, 44.534 l'ont réussi, soit un taux de réussite de 91,18%, selon des chiffres livrés lundi par le ministère de l'Education.
Nous figurons parmi les champions du redoublement, et c'est à juste titre, me semble-t-il, dans l'ensemble, que cette situation est critiquée par les uns et les autres.
De nombreux facteurs entrent en ligne de compte dans la réussite scolaire d'un enfant, mais selon une étude, rien ne compte plus que les capacités de l'enseignant. Mais être un bon prof c'est quoi ?
La Fédération Wallonie-Bruxelles a conçu depuis quelques années des épreuves externes certificatives qui, de par l'ampleur des échecs, inquiètent terriblement les parents, tous les parents de tous les réseaux.
Le Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles a approuvé mercredi un projet de décret assurant un refinancement progressif de l'Enseignement supérieur, une des principales promesses de la majorité PS-cdH pour cette législature.
Juin :les jours les plus longs, la fête des papas... et les examens des enfants. Moins drôle ! Surtout après le cafouillage qui a marqué l'organisation des épreuves externes (CEB, CE1D, CESS...) il y a tout juste un an.
La ministre de l'Éducation, Marie-Martine Schyns (cdH), a essuyé mardi les critiques de l'opposition MR, Ecolo et DéFI mais aussi de son partenaire de majorité PS pour l'envoi récent d'une circulaire aux écoles de l'enseignement officiel concernant les ateliers "Philo-Théo", destinés à stimuler le questionnement philosophique des élèves de 4e, 5e et 6e primaires.
Quelque 11.000 petits Français sont scolarisés en Fédération Wallonie-Bruxelles, ce qui représente une charge financière d'un peu plus de 76 millions d'euros par an, a indiqué lundi le ministre du Budget de la Fédération, André Flahaut.
Le président du MR, Olivier Chastel, s'est inquiété lundi de la mise en oeuvre de la réforme des titres et fonctions dans l'enseignement francophone, qui risque selon lui d'entraîner des pertes d'emploi ou de revenus pour les enseignants en Fédération Wallonie-Bruxelles.
Le fonctionnement des écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles sera perturbé par le manque d'enseignants, mardi, à l'occasion de l'action menée par les travailleurs des services publics, ont indiqué lundi les syndicats socialiste et chrétien. L'ampleur du mouvement demeure néanmoins difficile à évaluer.
Le métier d'enseignant fait partie de ces métiers pour lesquels, malgré toute l'expérience et les compétences que l'on peut avoir accumulées au cours du temps, il est impossible de pouvoir garantir que le travail fourni sera productif.
On aurait pu croire que le fiasco du décret inscription calme certains acharnés de la réforme. Mais non, aujourd'hui, certains apprentis sorciers se déploient pour faire aboutir un Pacte d'excellence en communauté française ou l'Islam dans l'école catholique en Flandre.
La liberté de culte dans l'enseignement secondaire est et reste un monstre d'apartheid. Il est temps de se débarrasser des cours de religion, estime Maurits Vande Reyde, le président du Jong VLD.
Le Secrétariat flamand de l'enseignement catholique (Katholiek Onderwijs Vlaanderen) veut faire une place à part entière au culte musulman et aux autres religions à l'école, écrivent mercredi De Morgen et Het Laatste Nieuws.
Pas un seul enseignant francophone n'est parti enseigner en Flandre, en vertu d'un accord de coopération permettant d'aller donner cours dans une école dépendant d'une des deux autres communautés du pays, rapporte La Libre Belgique.
Un peu plus d'un million de jours d'absence parmi les 100.000 enseignants de la Fédération Wallonie-Bruxelles ont été comptabilisés lors de la dernière année scolaire par l'administration, rapporte mercredi La Dernière Heure.
Seuls 4% des garçons et 6% des filles de 15 ans scolarisés en Belgique francophone déclarent aimer beaucoup l'école. A 11 ans, cette proportion atteint encore en moyenne 45% pour les filles et 37% pour les garçons.
Maman de trois jeunes enfants, j'ai appris comme tout le monde dans la presse que des associations de parents, dont la Ligue des familles, réclamaient de porter le temps d'école jusque 17 h, voire 19 h.