Le rôle de l'ancien président du Sénat Armand De Decker, intervenu comme avocat au profit de l'Elysée, soucieux du sort judiciaire réservé en Belgique à un trio d'hommes d'affaires kazakhs, a été unanimement condamné mercredi en séance plénière de la Chambre à l'occasion de l'examen des conclusions de la commission d'enquête parlementaire sur les circonstances qui ont entouré le vote et l'application en 2011 de la loi de transaction pénale élargie.