"Sécher les cours n'est pas la bonne méthode" : tel est le son de cloche que l'on a pu entendre de part et d'autre de la Flandre en réponse à la "grève scolaire", lancée le 10 janvier par deux lycéennes originaires de Mortsel, et suivie depuis, tous les jeudis, par des milliers d'adolescents, flamands comme francophones, en vue de dénoncer le manque d'action pour protéger la planète.