Coupures d'internet à répétition, réseaux sociaux bloqués, loi sur la cybersécurité... Les experts s'inquiètent de ce que la junte ne cherche à couper les Birmans du monde extérieur, comme c'était le cas sous le précédent régime militaire. Car l'Internet, semble bien être l'autre front du coup d'Etat birman.