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Une expédition scientifique dans le Loch Ness pour traquer l’ADN du monstre

Rosanne Mathot
Rosanne Mathot Journaliste

Rien de farfelu, dans l’expédition scientifique en cours : une équipe internationale de scientifiques (menée par l’universitaire néo-zélandais Neil Gemmel) démarre, ce mois-ci, une très sérieuse expédition en Ecosse.

Objectif : déterminer, une bonne fois pour toutes, si, oui ou non, « Nessie », le « monstre du Loch Ness » existe. Comment ? En prélevant 300 échantillons d’eau et en analysant les fragments d’ADN qui s’y trouvent. En effet, quand un être vivant nage, il perd toujours des fragments d’ADN (salive, peau, écailles, urine .. etc ) dans l’eau.

Depuis les années 1930, les expéditions n’ont eu de cesse de se succéder, sur le rives du Loch Ness. Mais jamais n’avait-on pensé à étudier l’ADN présent dans les eaux du mystérieux lac écossais. Premiers résultats attendus en janvier 2019. Si un saurien préhistorique rôde dans le Loch Ness, ce sera la fin de l’histoire. Ou son début.

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